Vilnius et moi, les amants réticents
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Knut FournierLa passion a commencé à s'évaporer, dès lors que Vilnius est devenue chère et inconfortable, ou bien à partir du moment où je n'étais plus étudiante.Toutefois, les boulots pour une diplômé en sciences sociales dotée d'un passeport Lituanien sont au rendez-vous. Anecdotes sur Vilnius avec Wonderland, le babelblog d'une expatriée lituanienne adepte du regard urbain mais critique.
La météo imprévisible de Tel Aviv me manque, alors que le ciel de mon pays natal jette sur mon visage une pluie glacée. Pour cette raison je vais peut-être éviter le seul festival qui me fait dire, « Ouais, j’adore vivre à Vilnius ! », c’est à dire le Let It Be Night festival, quand de nombreux lieux culturels sont ouverts la nuit et que beaucoup d’évènements sont gratuits. La plupart ont lieu en intérieur, mais vous ne pouvez ressentir la grandeur de cet événement sans bouger tout autour du site, avec tant je gens, de vie, de lumières et de joie. Quelque chose manque si en vous promenant vous maudissez la laideur du climat, tropical, mais froid. Vous l’aurez compris, si votre humeur est déjà au plus bas, ou si vous avez mieux à faire que de lire un post amer sur un blog, vous pouvez d'ores et déjà le refermer.
Pour lire la suite de l'article, rendez-vous sur le blog Wonderland
Photo : ©Linas Justice/Flickr
Translated from Diary: Vilnius and I, reluctant bedfellows