La Syntpop au coeur d'Isantbul (12 photos)
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Matthieu AmaréLe photographe serbe, Nemanja Knezevic, a décidé de photographier la capitale européenne turque dans son aspect le plus classique. Pourtant ce sont des portraits de musiciens jeunes, entrepreneurs et plutôt branchés qu’il nous dévoile. Histoire de mettre de la couleur sur du noir et blanc.
Cet article fait partie de Green Europe on the ground 2010-2011, la série de reportages réalisés par cafebabel.com sur le développement durable. Pour en savoir plus sur Green Europe on the ground.
La partie asiatique de la ville. Les barres d’immeubles sont plus sobres et plus traditionnels que le côté européen. (Photo: © Nemanja Knezevic)
Des enfants sont en train de prendre des photos devant le pont de Galata. Le 23 avril était le jour des enfants. (Photo: © Nemanja Knezevic)
Les marches menant à la tour de Galata. (Photo: © Nemanja Knezevic)
La vue depuis la tour de Galata pendant les fêtes de Pâques.(Photo: © Nemanja Knezevic)
Un studio, près de la tour de Galata. Balamir Nazlica (31 ans, compositeurs, parolier et chanteur) et Hatice Arici (25 ans, pianiste et choristes) du groupe stambouliote Soaked, formé en 2003. Ils jouent de la synth-pop et ont réalisé un EP en 2010. Le premier LP sera terminé pendant l’été 2011. Ils ont aussi participé à une session avec d’autres personnes pour tester de nouveaux sons et donner leurs opinions à propos des compositions, d’arrangements et d’un éventuel premier single. (Photo: © Nemanja Knezevic)
Un petit fast-food dans la rue Divan Yolu, une zone touristique à côté du Hagia Sophia et de la mosquée du Sultan Ahmet (alias Blue), soit la relique byzantine la plus connue qui se tient de part et d’autre de la rue. (Photo: © Nemanja Knezevic)
Hemi Behmoaras, 25 ans, me présente à la scène indé d’Istanbul. Les étudiants vidéographes et photographes s’occupent d’une petite agence appelée B Yuzu qui organise des concerts à destination des groupes locaux et étrangers. De temps en temps, il est DJ ou bosse en tant que producteur pour certains groupes. (Photo: © Nemanja Knezevic)
Hemo est un supporter de Galatasaray. Ici, les gosses jouent au ballon autour du Taksim square, le principal square du centre-ville. Le foot est le sport national turc. Les clubs les plus populaires sont Besiktas, Galatasaray et Fenerbahce. En arrière plan, on peut apercevoir le centre culturel Atatuk. (Photo: © Nemanja Knezevic)
Ataturk est connue pour être le fondateur de la République turque en 1920. Ici, a homme vend des drapeaux devant Yeni (aka New) Mosque, et se tient en travers de la rue qui mène aux eaux du Bosphore, dans le district de Eminönü. (Photo: © Nemanja Knezevic)
Yigit Bulbul, 25 ans (guitare, synthé et voix) fait partie du duo de PostDial, un groupe electro qui utilisent des influences variés dont le punk, la dance et la music indé. Ils ont deux EP à leur nom. Yigit est venu à Istanbul pour étudier le génie mécanique mais, entretemps, il est tombé amoureux de la musique. Dorénavant, il prévoit ses plans ailleurs, probablement à Londres, où il peut poursuivre une carrière musicale. (Photo: © Nemanja Knezevic)
Quelque part dans les rues étroites du quartier de Kasimpasa où le Premier ministre, Recep Tayyip Erdogan est né. Le faubourg est aussi connu pour son équipe de foot bien que le leader du parti politique AKP est un fan du Fenerbahçe FC. (Photo: © Nemanja Knezevic)
Levent Sevi, 25 ans. Le poète a vécu en Israël pendant trois ans. Il organise le projet Long Way From Home Istanbul Acoustic Sessions qui a pour but de présenter les groupes participants en vidéos. Vidéos qui ont été prises lors de sessions acoustiques un peu partout dans la ville. Il a commencé l’initiative avec un groupe local en novembre 2010 et il continue avec des groupes étrangers. La photo est prose devant le garage de la plus vieille ligne de tramway d’Istanbul, en haut de la rue Istiklal, soit la rue principale. (Photo: © Nemanja Knezevic)
Translated from Pop synth traditional Istanbul (12 images)