Voyage, voyage…
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Qu’il est bon de voyager…ne serait-ce que par le biais d’une histoire dans une salle de théâtre. Au programme de notre agenda, un tour du monde en 80 jours, des gens ordinaires en temps de guerre et un photographe hors du temps.
C’est le roman d’aventure par excellence. Ecrit par Jules Verne en 1872, Le Tour du monde en 80 jours de Phileas Fogg accompagné par Jean Passepartout, son serviteur français est joué sur la scène du Café de la Gare jusqu’au 5 septembre. Cette petite production a plus d’un tour dans son sac, car les cinq comédiens n’interprètent pas moins de 40 personnages sur scène. A voir et revoir !
Le tour du monde en 80 jours de Jules Verne, mise en scène par Sébastien Azzopardi, jusqu’au 5 septembre 2009, Café de la Gare, Paris
Comment des hommes ordinaires réagissent-ils face à une situation de guerre ? C’est la question que pose le film franco-suisse Ordinary People. Dzoni, jeune homme de 20 ans, fait parti d’un groupe de sept soldats que l’on emmène vers une destination mystérieuse. C’est là, après des heures d’attente, que l’on transporte des hommes blottis les uns contres les autres. Leurs ennemis.
Ordinary people, Vladimir Perisic, sortie française le 26 août 2009
70 photographies grands formats de l’un des plus grands photographes du XXe siècle. La rétrospective L’Imaginaire d’après exposée au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris rend hommage à l’inoubliable Henri Cartier-Bresson. La plupart prises en Europe, les œuvres photographiques de Cartier-Bresson soulignent la vie quotidienne des gens ordinaires de la moitié du XXe siècle. Un regard tendre et aiguisé.
L’Imaginaire d’après, Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, jusqu’au 13 septembre 2009
Crédit photo : Ecatoncheires/FlickR