Clichés sous terre
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Les couloirs du métropolitain dans les sous-sols de Budapest attirent l’attention des visiteurs. Proches des tunnels où s’enfilent les trains, des passages pleins de boutiques de pacotille, de cafés et de fleurs à vendre à l’arraché. Une esthétique underground décousue.
Le métro n’a que trois lignes (la quatrième est en construction depuis 1972) et elles ne se ressemblent pas. De la décadente Kőbánya-Kispest à la gracieuse ligne 1, la plus vieille d’Europe continentale, le patrimoine côtoie les silhouettes des mendiants. Une misère quotidienne et les pas des voyageurs qui claquent sur un sol anonyme...
Reportage photo deGonzalo Ovejero
Des produits sont exposés à la vente dans l’une des boutiques de la station de métro Nyugati.
Parties d’échec dans les couloirs du métro à Nyugati.
Scènes quotidiennes dans le métro hongrois.
Ferenciek Ter : six artistes de rue se mêlent à la foule de voyageurs.
La ligne bleue lors d’un trajet en aérien.
L’une des sorties de la station Kőbánya-Kispest.
« Le bar et le casino sont ouverts », « La pharmacie vous accueille », « Péksütemény (bonbons hongrois typiques) sont à votre disposition à l’intérieur » … Le couloir est fermé pour rénovation mais les boutiques à l’intérieur restent ouvertes.
Téléphones publiques dans le tunnel.
Sur les quais de la station Deák Ferenc Ter, là où les trois lignes du métro se rencontrent.
Invasion publicitaire à Deák Ferenc Ter.
Kálvin Ter, les tunnels du métro à Budapest abritent de nombreux sans abris.
Vörösmarty Ter, l’une des plus vieilles stations de métro au monde.
Des téléphones et des graffitis à Ferenc Körut.
Kálvin Ter, les sans-abris dorment sur de vieux matelas.
Des policiers dans la station Ferenc Körút.
Entrée de la station Ferenc Körút sur Üllői Ut (rue Üllői).