Ok, la French Touch c’est Daft Punk. Mais bien souvent quand ce sont les étrangers, et plus précisément les Anglais qui popularisent une expression, on oublie beaucoup d’artistes tombés pour la France. Citons volontiers Bertrand Burgalat, Cassius, Demon puis Air, The Supermen Lovers ou Sébastien Tellier. Plus récemment, il y a Justice, Breakbot, Jamaica, Château Marmont, Kavinsky, Chevalier Avant Garde. Et dans un monde plus pop, on dira que Phoenix peut très bien s’apparenter au mouvement. D’ailleurs, un membre du groupe, Laurent Brancowitz, a un temps créé un groupe de rock éphémère avec Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo : Darlin’. Le peu de couverture médiatique que la musique quasi-inaudible de Darlin’ méritait a débouché sur un article écrit par un journaliste anglais qui qualifiait la formation de « daft punk » (punk idiot). Finalement, on doit beaucoup aux British. Get Lucky ? (Photo © courtoisie de la page Facebook officielle de Random Access Memories)
Ok, la French Touch geht auf die Kappe von Daft Punk, das ist nicht zu leugnen. Doch wie so oft, wenn eine Redewendung auch im Ausland verwendet wird, bleiebn oftmals viele große Künstler eines Landes auf der Strecke: Betrand Burgalat, Cassius, Demon oder Air, The Supermen Lovers oder Sébastien Tellier. Oder aktueller sogar noch Justice, Breakbot, Jamaica, Château Marmont, Kavinsky und Chevalier Avant Garde. Und in einer noch poppigeren Welt würde man sogar Phoenix mit in diese Ecke stecken. Ein Mitglied der Band, Laurent Brancowitz hat zusammen mit Thomas Bangalter und Guy-Manuel de Homem-Christo mal eine Rockgruppe namens Darlin‘ gegründet. Das bisschen Presse, das die Jungs bekamen, kam dann ausgerechnet aus Großbritannien. Der Journalist bezeichnete die Formation damals als ‚Daft Punk‘ (idiotischen Punk). Schlussendlich verdanken wir den Briten doch einiges. Get lucky?