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[fre] Aarhus un sanctuaire des Arts en Construction.

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Default profile picture julien Fournier

C'est la même histoire que dans beaucoup d'autres endroits présent en Europe.  Les squatteurs se déplacent dans des maisons abandonnés, souvent des endroits industriels.Les artiste y bouge. L'endroit devient sympathique, les maisons sont en train d'être rénovées et les prix sont en continuelle augmentation. Ce cercle typique de la gentrification n'est pas étranger dans  Aarhus, Danemark.

Dans les années 60, c’était le quartier Latin. Aujourd’hui c’est  la zone autour de Godsbanen-  Un centre culturel ouvert en 2012 qui aujourd’hui accueille une grande variété de production d’art, des espace s de travail, et de centre culturel, tel que la littérature, les arts visuels, et l’art du spectacle. “ Un endroit où les gens peuvent travailler, être inspirés, crée des sites Web, partager des exercices et généralement développer leurs compétences” selon  Ole ,  le directeur de Den Selvejende Institution Godsbanen (DSIG). Ce faisant, Godsbanen veulent faire appel à une large diversité de gens de tous les âges, des  startups,  qu’ils s’agissent de professionnels ou d’amateurs. Les vieilles constructions dans  les zones de  trafique ferroviaires ont offert l’espace parfait.

Avant que Godsbanen soit né, une part de ces constructions ont été occupé par les Institut pour «  X », une plateforme culturelle et de business pour jeunes designers, musiciens, artistes, entrepreneurs et artisans. Un espace ouvert pour des échanges culturels et sociales, qui souvent comparé à une petite version de Christiania

C’était arrivé avec le consentement de la municipalité, comme cela était voulu pour faire en sorte à ce que les anciens bâtiments  soit pris en charge  et que certains des squatteurs ne les endommagent pas plus.

Pour transformer les vieux établissements en un centre culturel qu’est Godsbanen aujourd’hui,  la Fondation  Realdania a investît lourdement dans son développement. C’était une situation gagnant-gagnant  pour  Godsbanen  et Realdania, qui ont commencé à construire des appartements autour de cette zone.  Avec pour but d’investir dans de gros projets culturels, la Fondation  assure que les zones investit deviennent de plus en plus populaire  et que leurs valeurs augmentent. Un prototype de  gentrification.

Pourtant pour l’Institut « X »,  ce processus va probablement mener tout ceci vers une clôture en 2017 , et tant que de nouveaux bâtiments gignoteront la zone. Des jeunes danseurs, assis ensemble entre amis dans un jardin urbain de l’Institute « X » disent: “Et puis, nous n’aurons plus aucun endroit où aller. Et probablement seulement parce que cela devriendra  une grosse aire de stationnement.” A moins que Godsbanen commence une discussion sur comment et quelles seraient les partie s de l’Institute « X » qui pourraient être préservées , autant de valeur à respecter..

“Ils ont utilisé cette zone industriel que personne d’autres ne pouvaient utiliser et changer en un autre endroit. Je pense que cet endroit est très important pour notre ville, où chaque mètre  carré est en béton,  en herbe et précieux.  Nous avons besoin un peu de ces petits endroits différents,” dit Trine Rytter Anderson, Directeur du projet d’arts des lettres.

Les préparations pour devenir la Capitale Culturelle en 2017 sont déjà visible dans toute la ville. Cela veut aussi dire qu’il y aura de gros changement  pour Godsbanen, là où l’organisation  de 2017 de la Capital Culturelle est fortement engagée en finançant et guidant les projets. Un de ces Centres de Littérature, dont le courant principal est une école de haut niveau avec des écrivains expérimentés de par le monde – Faire des séminaires,  des ateliers, des expositions et festivals. Les autres sont les Centre d’Art Visuel et les Centres de l’Art du spectacle. Dans les 2 années qui viennent, Godsbanen sera rempli de nombreuses activités. Cela devrait aider à répandre et diffuser les mots de Godsbanen et le potentiel de l’endroit encore présent.

Les changements que 2017 apporteront pour  Godsbanen n’ont pas juste un bon côté, comme Anderson  le dit. Elle voie l’Organisation de la Capital Culturel dans une évolution décroissante. Cela se tient dans un contraste du concept hiérarchique des appartements de  Godsbanen, lequel est typique de l’Organisation Culturelle en Scandinavie, comme le remarque Anderson.  Guidé par des profils internationales dans les postes de direction, en 2017 la Capital Culturelle appliquera des directions et gestions  standards qui sont encore plus typique de l’Europe Centrale : “Je pense que c’est très mauvais. Cela va augmenter les critiques pour un bon environnement du travail. ”

Combattre pour garder l’environnement vivant est aussi un autre gros but pour Godsbanen. Un des futurs challenges,  selon Anderson, sera le réglage et la mise en place des convictions politique que l’art a besoin d’avoir pour être économiquement durable. Cela change la concentration de l’art libre à un art plus attribué. En ce moment, l’architecture et les organisations d’événements gagnent la course, ajoute  t-elle. “Cela peut vouloir dire que le Centre d’Art Visuel sera fermé parce que des gens pouvaient ici, créent des business, au lieu de gens comme nous, qui s’assoient là et dépensons beaucoup d’argent pour tous ces artistes,  faisant beaucoup d’ombres” dit-elle en riant. Economiquement parlant, cela ne fait pas bon présage pour beaucoup de gens travaillant ici.

“Après quelques années, chaque endroit comme celui-ci a besoin de  se réinventer et de savoir si cette mise en place est bon pour les gens. Mais en ce moment, nous avons une très bonne dynamique entre les différents agents venant ici ” d’après  Anderson.

Marche à travers  Godsbanen, et tu auras la même réponse de la part de chaque personne ; C’est un magnifique endroit pour travailler. Professionnels et amateurs travaillent côte à côte avec à chaque fois différents genres de matériaux et de technique faisant de cette communauté, une communauté très imagé. Le but de la maison est d’embrasser ce qui semble être la diversité pour un travail parfait. 

“L’atmosphère est fantastique  et unique ? Artiste, Start-ups… Tu as de l’inspiration grâce à chaque personne, et tu voies comment  ils font et comment ils auraient pû faire. ” déclare  Jens Jensen, qui travaille au coupe laser.

La zone autour de Godsbanen  est une partie vivante de  Aarhus. Les endroits  industriels sont transformés de zone abandonnée  en un point chaud servant de rendez-vous pour les arts. La ville l’apprécie hautement et l’a nommé  Aarhus K - K  venant du mot « Kultur ». Conserver son caractère actuel sera un défi dans l’avenir.

Cet article a été en premier publié sur  jutlandstation.dk

Translated from Aarhus' Art Hub under Construction